Gestion de la bourse de coopération d’exemption au Canada : Nécessité de sauver l’étudiante Fassia Mahougbé Aholomè W. ALLOGNON

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Romuald Wadagni. C’est le ministre d’Etat béninois chargé de l’économie et des finances et de la coopération qui doit instruire l’ambassadeur des Etats d’Amérique (Canada), DO REGO, à prendre une note verbale afin que l’étudiante Fassia Mahougbé Aholomè W. ALLOGNON poursuive ses études au Canada. A travers un message adressé au Chef de l’Etat Patrice Talon, le Président de l’Observatoire Panafricain pour la Gouvernance Démocratique (OPGD), Gabin Allognon plaide pour une prise en charge immédiate de ce dossier qui n’aura aucune incidence financière à l’Etat béninois.

En réalité, la bourse de coopération d’exemption au Canada est une bourse intégralement financée par l’Etat Canadien et il suffirait simplement que l’ambassadeur des Etats d’Amérique près le Bénin assure un  bon suivi. Ce qui n’est pas le cas. Car, sur les cinq apprenants béninois envoyés au Canada en 2019 au temps de Covid, quatre sont bien pris en compte et une étudiante, la nommée Fassia Mahougbé Aholomè W. ALLOGNON est abandonnée à son triste sort et devrait être expulsée dans les quarante-huit heures qui suive si l’ambassadeur n’agit pas. De ce fait, plusieurs questions méritent d’être posées. Pourquoi la fille  Fassia Mahougbé Aholomè W. ALLOGNON a –t-elle été laissée sur le carreau ? Qu’est-ce qui s’est vraiment, réellement ou véritablement passé ? Est-ce des intrigues politiques ou des coups bas ?

Lire l’intégralité de la déclaration du Président de l’Observatoire Panafricain pour la Gouvernance Démocratique

Mesdames et Messieurs,

L’initiative de cet exercice haut combien difficile, cet après midi, n’est pas prise et ne se déroule pas actuellement avec gaité de cœur.

Je puis vous assurer qu’avant d’en à cette étape, j’ai fait tous les couloirs politiques et administratifs indiqués de la République du bas échelon jusqu’au plus élevé.

Certaines langues bien incirconcises de la question du jour pourraient s’interroger vraiment sur l’opportunité de s’adresser au Chef de l’Etat par voie médiatique ou non, quand on connaît bien le statut social de l’orateur ou du porteur de cette adresse.

A tous et toutes celles qui nous connaissent nous disons oui pour des raisons de délai et de principe de l’inaccessibilité facile à tous d’un Président de la République qui a droit à la bonne information

Mieux, un père de famille qui est sérieux et bien responsable qui plus est, un acteur public ayant pris part à maintes reprises à des compétitions électorales, et qui assument au quotidien des responsabilités excessives presque au sommet de l’Etat depuis plus d’une décennie, doit pouvoir accepter courageusement de mettre sa tête et tout son corps si possible dans la fournaise ardente, en d’autres termes prendre tous les risques possibles au monde lorsqu’il s’agit de sauver l’éducation et la formation d’une progéniture aux côtés des pouvoirs publics surtout quand il s’agit de l’apprenante d’aujourd’hui au delà des méditerranées, de la femme en devenir, de la première dame de demain.

Je vais commencer par dire que je suis l’un des béninois qui s’était engagé publiquement depuis Décembre 2014 en passant par 2015 aux législatives sous la bannière de l’opposition d’alors avec l’Alliance Soleil pour la cause de l’Alternance Démocratique et Crédible en 2016 réalisé par le peuple souverain et pour laquelle la famille ALLOGNON dont nous sommes l’émanation a versé de son sang au sol et continue d’en trimballer des séquelles jusqu’à nos jours.

Dans les six (06) communes que compte le Département des Collines en général et la 9ème circonscription électorale en particulier, composée de Bantè – Dassa – Savalou, 90% des acteurs politiques et de la plupart des hauts responsables administratifs de l’époque tous scellés par Monsieur KOMI KOUTCHE et qui animent de nos jours les partis de la mouvance (UPR et BR) sont devenus Patrice TALON le dimanche 06 mars 2016 après 20 heures où les tendances ont commencé par donner gagnant le principal candidat de l’opposition.

Je souligne ainsi à grands traits que le bilan politique du Président Patrice TALON de 2016 à nos jours est celui de la grande famille ALLOGNON à travers ma modeste personne.

Mais lorsque la révolution commence par bouffer ses propres fils et filles, il faut alerter à bonne date et à bon délai qui de droit.

A l’issue du Conseil des Ministres en sa session ordinaire du mercredi 22 janvier 2022 avec pour résolutions entres autres le renouvellement du Cabinet du Ministre des Affaires étrangères et de la Coopération d’alors, et après les cérémonies de passation de charges, un ensemble de mesures, de persécutions, de tortures ont été planifiées contre la personne du Directeur de l’Administration et des Finances et sa carrière administrative et politique. L’un des indicateurs de cette brutalité est la demande de départ de poste exigée par le Ministre, le 12 mai 2023 sans recourir par parallélisme de forme au Conseil des Ministres et sans autres procédures légales valables au léger motif qu’après trois (03) années d’exercice, ce dernier tout DAF devrait être appelé à d’autres fonctions alors qu’au même moment d’autres collègues sont en fonction depuis 2016, date du début du régime.

Et puisque Dieu, le vrai juge n’a jamais dormi, Monsieur le Président de la République, vous avez tout compris et avez pris la bonne résolution manifestée par le décret présidentiel du 06 juin 2023.

Tout devant être payé ici bas.

Mais l’exercice des fonctions excessives au sommet de l’Etat obligeant à la discipline et à la retenue, le grand silence a été l’option et la passation des charges s’en était suivie le même jour au plus tard 17 heures comme l’exigent les termes de la note de service dans des conditions qui tournent dos aux dispositions du décret fixant la structure type des ministères.

C’est cette culture de silence qui me conduit à faire le difficile exercice d’adresses de ce jour au Président de la République puisque le dos au mur et coincé dans un délai de 48 heures.

Si non, en réalité, qui suis- je pour oser écrire et chercher à m’adresser au Président de la République, Chef de l’Etat, Chef du Gouvernement, Grand Maître de l’Ordre National ?

 

Mesdames et Messieurs, cette adresse au Père de la Nation en votre présence pour trois (03) volets essentiels

 

Volet 1 : Du risque de l’extradition future d’une béninoise du territoire canadien si rien n’est fait sans délai par l’Ambassadeur du Bénin, près les Etats-Unis basé à Washington DC assurant la juridiction sur le Canada

 

Volet 2 : Mon adhésion aux idéaux et aux instances de l’UNESCO

 

Volet 3 : La Morale sociale

 

Quid du volet 1 ?

C’est le corps du sujet. C’est le leitmotiv de notre présence ce jour. C’est la question centrale de l’adresse au Chef de l’Etat puisqu’il ne peut être au courant de tout et en même temps dans les détails.

Monsieur le Président de la République, je viens très respectueusement porter à votre auguste connaissance et avec toute la déférence requise que si l’Ambassadeur du Bénin près les États d’Amérique, basé à Washington DC, Son Excellence Monsieur Jean Claude do REGO ne prend pas les taureaux par les cornes le 30 avril 2024 au plus tard soit en 48 heures en raison de l’erreur technique intervenue sur la date réelle de fin de formation de Mademoiselle MAHOUGBE AHOLOME FASSIA WALFRAM ALLOGNON, cette dernière qui est inscrite à Chicoutimi dans l’Etat de Québec ne pourra pas s’inscrire au plus tard le 03 mai 2024 et faire son stage d’Eté, ratera l’obtention de son diplôme en fin d’année et sera expulsé plus tard du territoire canadien.

Monsieur le Président de la République, comment expliquer et faire comprendre que lorsque l’Etat vous accorde une opportunité de bourse et sans que vous n’ayiez fini la formation, on pourrait planifier la fin de la jouissance de ladite bourse. ?

Mademoiselle ALLOGNON après l’obtention de son Baccalauréat Série D obtenu en 2018 à l’âge de 15 ans et un bain linguistique à Accra au Ghana en 2018 – 2019, est allée tardivement pour des raisons de la COVID 19 au Canada en septembre 2021 date de la première jouissance de la bourse dite d’exemption au lieu d’hiver 2021 (Confère lettre 741-C/MAEC/DC/DAC/AM/SP du 28 octobre 2020).

Sur la même liste d’attribution et d’autorisation à la jouissance de ladite bourse, on note que quatre (04) autres bénéficiaires qui aspirent à l’obtention de leur parchemin de même niveau c’est à dire la Baccalauréat dans diverses disciplines ont eu droit à l’assistance sur toute la période de formation.

A titre d’exemple

NOMS ET PRENOMS Date de naissance Début du Programme Début d’exemption Fin d’exemption Discipline Diplôme postulé
01 AHISSOU MARIE RUDI 31 – 08 – 1997 H – 2017 A – 2017 A – 2021 Ingénierie (Génie Civil) Baccalauréat
02 AKINOTCHO AZHAR OLABISSI AKANHO 28 – 02 – 1999 A – 2017 A – 2018 E – 2022 Ingénierie (Génie logiciel) Baccalauréat
03 AYADOKOUN ANDJA HAMYRA 04 – 07 – 2001 A – 2019 A – 2020 E – 2023 Design Industriel Baccalauréat
04 ALLOGNON MAHOUGBE AHOLOME FASSIA WALFRAM 05 – 01 – 2003 H – 2021 A – 2021 A – 2023 Chimie des produits Naturels Baccalauréat
05 MAMA ABDOU FAROUK 25 – 10 – 1999 A – 2019 H – 2020 E – 2023 Génie Électrique Baccalauréat

Un pur scénario de deux poids deux mesures qui s’explique bien difficilement.

Monsieur le Président de la République, je me permets de m’adresser à vous devant l’histoire car dans la gestion de ce dossier l’honorabilité de ma famille est gravement atteinte au regard du traitement affligé à ma personne à plusieurs reprises et devant des témoins en termes de : je cite “malhonnête intellectuel”. Mieux, j’ai été menacé de radiation de la Fonction Publique alors que moi – même j’aspire déjà à bénéficier de votre appui politique pour m’éloigner du territoire si Dieu m’en accorde la chance aux fins de m’occuper au mieux des brillants enfants dont le Bénin s’est doté par ma modeste personne.

Face à cette situation bien grave qui n’honore pas le Bénin à l’extérieur, et dos au mur, j’ai décidé de saisir le Ministre d’Etat, Ministre en charge de la Coopération dans des formes suffisamment risquées pour forcer son attention et celle de son entourage par correspondance en date du vendredi 05 janvier 2024. Contre toute attente, l’autorité m’a fait l’honneur de me recevoir le lendemain samedi 06 janvier 2024 à partir de 9 heures en présence de son Directeur de Cabinet et de son Assistant.

A cette occasion, nous débattu surtout de mon affectation historique et illégal de Cotonou par note de service du Directeur National du Contrôle Financier et ce, le 18 septembre 2023, jour de la rentrée scolaire et universitaire après toutes les formalités faites auprès des établissements me distançant ainsi de ma famille qui était soumise à tous les risques de circulation.

Sur la question de la bourse de Mademoiselle Fassia, il avait promis faire la lumière avec l’Ambassadeur Jean Claude do REGO et mettre au besoin la main à la poche.

Mais silence radio jusqu’au jeudi 21 mars 2024 où depuis le Canada, j’avais été alerté par Mademoiselle FASSIA par un message WhatsApp dont j’ai envoyé la capture d’écran au Ministre d’Etat, en charge de la Coopération, Son Excellence Monsieur Romuald WADAGNI, je cite: “Bonjour papa! Aujourd’hui était la rencontre avec les deux professeurs qui m’encadrent pour stage. Apparemment si la scolarité n’est pas payée avant la fin du mois d’Avril, je ne pourrai pas m’inscrire pour le stage et le stage est obligatoire pour finaliser les études, c’est le dernier été avant ma fin, si non je n’aurai pas mon diplôme et va m’expulser du pays.” Fin de citation

Après avoir reçu le message de ma capture d’écran, le Ministre d’Etat en charge de la Coopération m’a appelé ce vendredi 22 mars 2024 de 9heures à 9heures sur WhatsApp pour vingt (20) minutes 21 de communication bien violente durant laquelle il partagea avec moi je cite : ”Est ce que vous savez que votre fille n’avait pas droit et qu’il y avait d’autres aspirants au bénéfice de cet avantage avant elle et que ce fut une situation d’arrangement parce que vous étiez DAF ? Répondez Répondez Répondez”

Mais froidement j’ai insisté et fait passer le message ci – après : Excellence, voulez – vous croire en ce que dans ma modeste fonction technique de DAF d’alors, je pouvais influencer un Ministre des Affaires Étrangères et de la Coopération pour obtenir une signature aussi capitale ?  Et c’est alors en dépit de toutes les supplications et de toutes les excuses dont je faisais montre au téléphone qu’il décida à nouveau de soumettre le dossier à la lumière de l’Inspecteur Général des Finances, Chef de service pour une vérification. Pour ma part en ce qui me concerne aucune objection.

Quelques minutes après les échanges avec le Ministre d’Etat, l’IGF, Chef de Service demanda à me recevoir à son bureau, le même jour, vendredi 22 mars 2024 à 17 heures au Ministère de l’Économie et des Finances. J’ai répondu à ce rendez vous à bonne date où j’ai eu l’occasion de me confier et de donner ma version qui est la pure vérité à l’IGF, Chef de Service, investi de son pouvoir d’enquête sans oublier de lui suggérer des pistes de vraies lumières sur le dossier.

Après avoir quitté l’IGF, Chef de Service, le Ministre d’Etat, Ministre de la Coopération, m’a fait l’honneur de me transmettre via WhatsApp, sur mon téléphone portable à 20heures 46 minutes, pour mon information avait – on écrit la lettre n°115 – C/2024/MEF/IGF en date du même jour vendredi 22 mars 2024, que l’IGF, Chef de Service a adressée au Secrétaire Général du Ministère des Affaires Étrangères avec pour objet “Suspension de la bourse d’exemption de Mademoiselle Mahougbé Aholomè Fassia Walfram ALLOGNON”. Dans cette lettre l’IGF, Chef de Service a demandé de mettre à sa disposition les raisons de ladite suspension.

Monsieur le Président de la République, la course contre la montre, je m’évertuais à faire autant que je pouvais, les escaliers du Cabinet du Ministre d’Etat, pour m’enquérir des conclusions de l’enquête de vérification de l’IGF que je n’ai jamais obtenues et c’est finalement le mercredi 24 avril 2024 aux environs de 20 heures que l’on m’informe de ce que nous avions fraudé en 2020 après plus de deux années de jouissance, faisant déclasser le dossier de ma fille pour le remonter à la surface aux fins de la faire bénéficier et instruction a été donnée au Directeur de Cabinet pour aller me faire lire les conclusions de l’enquête de l’IGF, Chef de Service.  Nous voici, à 6 jours de la fin du mois d’Avril 2024.

Que faire pour sauver l’honneur et la dignité de cette fille du pays ?

Où trouverai – Je les moyens toute de suite pour faire face à cette dépense de près de vingt quatre mille dollars canadiens à payer en deux tranches au titre de l’année 2024 alors que toutes les vannes officielles et professionnelles de la République me sont bouchées pour raison de volonté personnelle de certains plus forts que moi et détenteur du pouvoir administratif ?

L’Etat me doit une année entière de salaire au poste de DAF/MAEC (Mai 2020 – Mai 2021), j’ai écrit et réclamé. C’est une lettre morte. Au même moment que l’Etat me doit et que rien fait après réclamation et relance multiple, les services solde de la Direction Générale du Budget et de la Direction Générale du Trésor et de la Comptabilité Publique me prélèvent depuis le mois de juillet 2023 à ce jour au lendemain de mon départ du MAE un trop perçu de l’ordre de 266.666 FCFA à 320. 342 FCFA sur un salaire du fonctionnaire béninois qui porte déjà des engagements bancaires alors qu’aucun Ordre de Recette n’a été officiellement émis par les services de la DGB. On ne dirait pas que j’avais été par le passé un balayeur des couloirs des bureaux de ce Ministère.

Monsieur le Président de la République, il est normal qu’un grand frère et un jeune frère se mettent ensemble pour ligoter la vie d’un citoyen qui a été indésirable à l’un d’entre eux à un moment donné.

Mais je voudrais très respectueusement vous prier dans votre rôle de père de la Nation et ayant accordé une partie de la souveraineté du peuple à l’Ambassadeur do REGO aux fins de votre intersection pour une action immédiate dans les 48 heures qui suivent auprès des autorités canadiennes, délai après lequel, votre fille Fassia ALLOGNON ratera sa dernière année de formation et nous reviendra au pays sans diplôme.

 Quid du volet 2 : Mon adhésion aux idéaux et aux instances de l’UNESCO

  • Par décret n°112 -2011 du 24 mars 2011, Monsieur Gabin Ahogbédji ALLOGNON a été fait à titre exceptionnel Chevalier de l’Ordre National du Bénin en sa qualité du Président de l’Organisation Panafricaine pour la Gouvernance Démocratique (OPGD – Centre UNESCO) pour avoir initié et conduit avec succès aux côtés des pouvoirs publics le Festival International Endogène de la Région des Collines et des Montagnes (FESTI’CO – AFRICA) qui a connu le déplacement personnel à Natitingou et à Djougou du Président de la République, Chef de l’Etat, Chef du Gouvernement le vendredi 06 novembre 2009.
  • Au titre du parterre de personnalités qui étaient assises ce jour, on citer :

Messieurs Edouard OUIN – OURO, Barthélémy KASSA, Emmanuel TIANDO, TOLEBA SOUMANOU SEIBOU, SAHGUI, Gervais N’DAH SEKOU, DJIMA, GANIOU SOGLO, MAMATA DJAOUGA, la plupart des pays de l’Afrique de l’Ouest avec un financement public budgétisé de l’ordre de 70 millions dans les lignes du Ministère de la Culture.

  • Une autorisation spéciale du Ministre de la Culture, de l’Alphabétisation et de la Promotion des Langues Nationales avait été adressée au MEF pour me permettre de conduire avec succès les différentes opérations. En conséquence, Monsieur ALLOGNON Ahogbédji Gabin s’est toujours la vocation de courir après l’intérêt général et non l’intérêt particulier ou privé. Et lorsque la Nation vous distingue et vous élève, cette nation vous demande d’aller plus loin dans le respect des textes de la République. C’est pourquoi, j’ai toujours souscrit pourque le mouvement UNESCO à la base ne s’étiole aux côtés de la Commission Nationale Béninoise pour l’UNESCO.
  • A nos jours, avec la contribution de tous et de toutes, le Bénin est respecté et salué non seulement en Afrique et dans le reste du monde. Je n’en veux pour preuve que deux décisions majeures du Conseil des Ministres sous le leadership assez salutaire du Ministre Salimane KARIMOU de deux récentes séances ordinaires respectivement du 17 janvier 2024 et du 11 avril 2024.

 

Quid du volet 3: La Morale sociale?

 

Un citoyen est décoré doit faire partout et tout lieu preuve de l’exemplarité, de la rigueur, de la vérité, de la sincérité, de la probité intellectuelle, du courage, de la détermination.

Il doit être promoteur des vertus, des bonnes mœurs, avoir à coeur la vie de la veuve et de l’Orphelin.,

Et pour cela, je m’évertue à tendre vers la perfection en étant un citoyen honnête, responsable, respectueux de ses engagements.

Cotonou, le Dimanche 28 avril 2024

 

 

 

Gabin Ahogbédji ALLOGNON

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