En Afrique, la Russie s’en sort plutôt bien après le départ de la France du Niger, du Mali et du Burkina Faso.
Moscou a vu ses échanges commerciaux et de coopération économique avec le continent noir augmentés.
En clair, le volume des échanges commerciaux et de la coopération économique entre la Russie et l’Afrique a atteint 25 milliards en 2024, et va croître davantage.
C’est l’essentiel à retenir des propos du ministre russe des Affaires étrangères, lors de l’ouverture du Département de partenariat avec l’Afrique de son ministère.
Les liens économiques entre Moscou et l’Afrique se resserrent et chacun est à la recherche de nouveaux projets mutuellement bénéfiques, a déclaré ce mardi 4 février le ministre russe des Affaires étrangères, lors de l’ouverture du Département de partenariat avec l’Afrique de son ministère.
« Le volume des échanges commerciaux et de la coopération économique entre la Russie et les pays africains est en croissance et a atteint 25 milliards de dollars l’an dernier. Mais le montant des échanges actuel est loin de correspondre au potentiel », a-t-il souligné.
Selon lui, les perspectives sont nombreuses, notamment dans les secteurs de l’énergie, en particulier nucléaire, du transport et logistique, du numérique et nouvelles technologies, et de l’exploration spatiale.
De tout ce qui précède, il est évident que la Russie profite à fond des difficultés de la France en Afrique notamment au Mali, au Niger et au Burkina Faso.